Marie Chiocca, psychanalyste à Toulouse (31)

Psychanalyste depuis 2012, j’ai choisi de participer à l’Organisation Psychanalytique de Langue Française dite Quatrième Groupe pendant 8 ans car je partage les choix épistémologiques qui sous-tendent les modalités de formation des analystes de cette association et je sais la nécessité de choix théoriques complexes pour la création d’un nouveau modèle du penser.

Je suis issue d’un parcours de chercheure internationale en Didactique des Mathématiques et de la Pêche, spécialisée en Analyse Statistique Implicative.

Je vous accueille en consultation dans mon cabinet  au centre de Toulouse.

 

Accompagnements thérapeutiques

  • Idées suicidaires ; Deuil ; Dépression
  • Suites d’un traumatisme (accident, catastrophe…)
  • Malêtre identitaire ; Problèmes de poids (anorexie , obésité) ; Insatisfaction sexuelle
  • Addictions (tabac, alcool, jeux, écrans…)
  • Grossesse et relations parents/bébé
  • ITG, Accouchements difficiles, IVG
  • Vie avec une personne (enfant ou âgée) en situation de handicap (PMR, malade psychique)
OPLF dite Quatrième Groupe

Marie CHIOCCA, psychanalyste

Diplômée d’un master philosophie et psychanalyse et d’une maîtrise en psychologie, je suis spécialisée dans l’accompagnement analytique des adolescents.

Diplomée en addictions (tabacologie, alcoologie) et art-thérapie.

En complément du psychologue qui va aider à sortir de la phase aigue d’une dépendance à un produit, un comportement ou une personne, le psychanalyste  travaille dans un second temps pour aider à maintenir cette nouvelle indépendance, ce qu’il est très difficile de faire seul.

Le psychanalyste ne délivre pas de médicaments, contrairement au psychiatre et ses consulations ne sont pas remboursées par la sécurité sociale. Certaines mutuelles prennent en charge quelques séances.

Secret professionnel, déontologie en psychanalyse / psychologie

Le psychanalyste respecte une stricte confidentialité. Aucune information révélée par un patient ne peut être révélé à quiconque. 

Le code de déontologie engage le psychanalyste à respecter un secret professionnel absolu.

Le Nouveau Code Pénal, par son article 226-13, daté du 1er mars 1994, prévoit un an d’emprisonnement et 15000€ d’amende pour le professionnel qui révélerait à d’autres personnes des informations à caractère secret dont il a été le dépositaire. Le secret professionnel n’est donc pas qu’une recommandation, c’est une obligation.

L’article 13 du Code de Déontologie mentionne toutefois: « Le psychologue ne peut se prévaloir de sa fonction pour cautionner un acte illégal, et son titre ne le dispense pas des obligations de la loi commune. Conformément aux dispositions de la loi pénale en matière de non assistance à personne en danger, il lui est donc fait obligation de signaler aux autorités judiciaires chargées de l’application de la Loi toute situation qu’il sait mettre en danger l’intégrité des personnes. Dans le cas particulier où ce sont des informations à caractère confidentiel qui lui indiquent des situations susceptibles de porter atteinte à l’intégrité psychique ou physique de la personne qui le consulte ou a celle d’un tiers, le psychologue évalue en conscience la conduite à tenir, en tenant compte des prescriptions légales en matière de secret professionnel et d’assistance à personne en danger. Le psychologue peut éclairer sa décision en prenant conseil auprès de collègues expérimentés. »